Notre chambre

La plus grande chambre de la maison

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C'est meublé avec goût, l'on voit que la maîtresse de maison a les choses en main !

Merci Messieur le Baron, cela me flatte

Il y déposa son épouse, lui dit après un tendre baiser sur le front:

Je t'aime mon amour, je pars quelques instants à la mairie et je te rejoins.

Bonne nuit mon tendre, passe par la chambre de Chloé pour voir si il dort bien stp Smile

Je t'aime

Pidou était alonger sur le lit avec Chloé a ses côtés.

Chloé avait une petite fièvre, Pidou etait au petit soin pour elle, elle lui passait une petite serviette mouillé sur le front pour faire baiser sa température

Elle etaient rester toutes les deux dans la chambre pendant toutes la journée.
Chloé avait toujours une forte fièvre et Pidou commencer à s'inquièter.
Renyho n'était pas venu de toute la journée, personne ne savait où il était.

Pidou caressait la petite main de Chloé qui était elle aussi toute chaude. Elle se dit que si elle n'allait pas mieux demain elle l'emmenerais voir sa grande soeur pour qu'elle l'examine.

Pidou avait veiller toutes la nuit, pour pouvoir voir l'état de Chloé, qui était toujours au même stade.

Ne pleure pas ma princesse.

De retour de Bourges, Renyho revint auprès de son épouse et de sa fille. Les longues discussions économiques, politiques et militaires l'avaient épuisées. Il s'allongea auprès de Chloé, encore brûlante. Il allait se reposer auprès de sa fille.

Pidou était aller chercher quelques serviette froide pour mettre sur le front de Chloé, quand elle apercu son époux allonger sur le lit avec dans ses bras Chloé.

Elle s'approcha doucement, mit une serviette sur le front de sa princesse, lui embrassa sa petite main.
Puis s'approcha de son bien aimé et se mit elle aussi dans ses bras.

Ils étaient tout les trois allongés sur lit, comme... une famille... une famille unie

Rien n'était plus beau, que cette heureuse famille...

Sur le rebord de la fenêtre, Renyho avait disposé de belles assiettes qu'il avait apporté de Bourges.

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Il chuchota à sa fille et à son épouse un doux je t'aime, les deux amours de sa vie.

Pidou était tellement bien pret de ceux qu'elle aimé.

Chaque minutes auprès d'eux etait inoubliable. Elle les aimé tellement.

après une magnifique soirée de complicité, d'amour et de tendresse, Renyho et Pidou étaient de retour en leur demeure. Jean leur confirma que la petite Chloé se portait mieux.
Pour cette nuit, Chloé dormirait entre Pidou et Renyho, à l'abris de ses parents. Pour une famille belle et unie...

Pidou était partit se matin tôt pour montrer Chloé à une des ses soeurs guérrisseuses.

Elle devait lui donner des infusion de thym et pour ses fesses roses de la pommade de badane.

La fièvre commencait à penser grâce au thym!

Pidou laissa Chloé au sois de Jean et partit faire un tour au village. Sur le chemin elle pensait à la magnifique soirée qu'elle avait passer avec son époux dans les tavernes du village

Dans un coup de vent, un parchemin c'est poser sur le lit des deux jeunes parents

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Renyho attrapant ce parchemin au vol, il maintennait Chloé dans ses bras, une larme vint s'ecraser sur le parchemin à la lecture de la lettre.

Renyho berçait Clhloé, et par cette chanson:

Je regarde les jours passés,
C'est tout ce que je peux faire...
Je me rappelle tout ces instants partagés
Quand je pense à toi.

Te cotoyer a enrichi nos vies,
Simplement heureux de te voir.
Mais maintenant, tu nous manque déjà,
C'est comme si tu étais perdue pour toujours.

Nous t'aimons mon amour...

Je t'aime mon tendre

Pidou était alonger dans le lit, elle n'avait pas beaucoup dormi pendant la nuit, le sommeil n'était pas là. Elle se posait beaucoup de question dont elle n'avait pas trop de reponse. Elle avait ecrit quelques lignes d'un poème pendant la nuit. Mais elle n'ose le faire lire a son époux

Renyho était assis sur son fauteuil, il regardait son épouse qui semblait fatigué. Il chantait tout bas ces quelques paroles:

Reste avec moi, mais personne ne sait, ce qu'il adviendra...

Pidou se retourna et demanda a son époux de venir auprès d'elle.

Mon coeur viens Smile

Renyho se posa auprès de son épouse.

Pidou regardait son époux et n'osais plus rien dire

Renyho regardait sa tendre épouse dans les yeux, il l'interrogeait du regard, son épouse ne disait mots mais il sentait bien qu'elle voulait lui dire quelque chose.

Pidou posa sa tête sur l'épaule de son bien aimé, prit sa main et la mis dans la sienne sans dire un mot

Renyho regardait vers le fenêtre, pensivement. Il caressait les doux cheveux de son épouse, lentement.

» Notre mariage, le 19 novembre 1454 (Pidou et Renyho)
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